Angèle
Saccucci
Me voilà...
Formation artistique
1998/2003-licence d’arts plastique, niveau maîtrise-
Université Michel Montaigne, bordeaux III, Bordeaux,
France
Expositions personnelles
- 2006, presque rien, le bois des fées, Vergoignan, fr
- 2007, Presque rien, Eglise saint Pierre, Oloron sainte-Marie, fr
- 2009, sans titre, été des arts, Labastide d’armagnac, fr
- 2014, résidence/expo, Saint Martin, fr,
- 2016, proliférations, adpl 32, Gondrin, fr
- 2016, exposition «je fais Rien du Tout et c’est pas facile», galerie l’âne bleu, Marciac, fr
- 2022 installation «Requiem», lavoir de Gondrin, fr
Expositions collectives
- 2007, explositions, Escource, fr
- 2009, explositions, Saint Julien en Born, fr
- 2011, explositions, Pontenx les forges, fr
- 2012, amours et révolutions, adpl 32, Gondrin, fr
- 2012, sur le fils de mes os, les vivres de l’art, Bordeaux, fr
- 2015, les mythimages, Marciac, fr
- 2019, exposition adpl, Marciac, fr
- 2019, exposition «mise en cène», Condom, fr
- 2021, exposition «le sang de la terre», Calce, fr
- 2022 exposition «presque rien», Eauze, fr
- 2022 exposition «trans/former», Gondrin, fr
- 2022 installation "requiem", lavoir de Gondrin, fr
- 2022 exposition «presque rien», Samatan, fr
Démarche artistique
Mon travail, autour de quoi ? A cette question je répondrai « autour du trou ». C’est une forme, ou non-forme, qui traverse mon travail, l’espace du vide, le vide n’étant vide que parce qu’il est ourlé du réel. L’espace entre soi et l’Autre, la lisière entre intérieur et extérieur (la peau), la distance entre l’intime et l’universel ou sa propre singularité (sa propre névrose !) mise à l’épreuve du groupe. J’essaie, à ma manière de comprendre ce vide, de le combler, ou du moins de tisser une trame qui pourrait le combler (le fil est un médium récurrent dans mon travail). Mon champ d’action est vaste et les médiums multiples et variés. Ceux-ci sont choisis comme autant de vocabulaire plastique servant avant tout le sens que je veux donner à l’oeuvre (la matière comme pré/texte). Un dialogue entre le fond et la forme. Le plus important pour moi restant le temps de l’élaboration de l’oeuvre, de la confrontation des idées avec le réel de la matière, bref, le temps du travail. Ma préférence va vers l’installation, qui serait pour moi comme un livre ouvert, avec son début, ses différents chapitres, son fil narratif. Des choses de rien mises bout à bout et qui construisent une histoire, la mienne, celle des regardeurs. Mon geste est sériel, « pénelopesque », jusqu’à épuisement, mon épuisement. Le mot est présent, se jouant des sens et invitant à partager la dimension universel du soi.
Angèle Saccucci
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